lundi 30 septembre 2013

Lettre aux couillons de bretons, rédigée à la première personne du singulier.



Il est rarissime que je me dépare de mon masque protecteur d'ovidé, une fois n'est donc pas coutume, car parler de soi et de ses bobos ne présente que peu d'intérêt. Préparez-vous, c'est un pavé, ce qui est indécent sur la toile, ou reculez illico, et retournez immédiatement sur vos pas. J'ai largement dépassé l'âge de me faire des illusions sur la nature humaine. Sans doute m'en faisais-je encore quelques unes sur ceux de ma race que je pensais être de mon clan. Hélas, si la Bretagne s'est sabrée en passant stupidement du bleu au rose, sous l'influence des écoles républicaines :., la Bretagne dite de droite, ou franchement identitaire, ne vaut guère mieux. Il y a quelques jours de cela, et je n'en ai pas parlé sur le coup, il m'est arrivé la petite mésaventure suivante : mon propre village qui ne rassemble pas plus de 1000 habitants, est le terrain de jeu d'une bande de branleurs motards, de motocross plus précisément. Il se trouve qu'un samedi de début septembre, je me suis retrouvé, vers 22 heures 30, face à face avec 3 jeunes casqués qui sur leur véhicule terrorisent avec leurs pointes de vitesse et leur vroom-vroom, l'ensemble du bourg. Rompant comme à mon habitude en visière, j'ai traversé la route et bloqué  3 jeunes à toute berzingue, pour leur dire le fond de ma pensée. Bien sûr, le ton a monté. 3 petits merdeux ne me faisait pas peur, quand, inopinément est arrivé le reste du troupeau, environ 5 de plus dans mon souvenir, ainsi qu'une bagnole conduite par une fille et que je ne savais pas faire partie de leur meute !  Cela faisait donc environ 8, sans compter les 5 ou 6 que contenait la grosse caisse. Bizarrement, je n'ai pas eu peur, et c'est sans doute là que ma propre folie meurtrière s'est retournée contre moi. Ils étaient donc une bonne douzaine, et, voyant en moi un ennemi brutal, ils m'ont encerclé. Deux filles ont tout d'abord tenté (oui, oui !) de m'accrocher au colback. J'ai pu m'en dégager, mais le troupeau m'ayant encerclé, et faute d'avoir eu une vision circulaire, le coup est venu sur ma droite,  qui m'a visé et fracassé le nez (radio à l'appui). Aussitôt, je suis parti en vrille, car le nez est bien la partie la plus sensible, je me suis donc écroulé au sol, sonné... Ils n'ont pas osé aller plus loin. Je suis rentré en sang. Personne du village, tous planqués derrière leurs volets clos, ne s'étant manifesté. 2 jours plus tard, après avoir porté plainte et vu le médecin qui a signé un arrêt de 20 jours, un des voisins, un ami d'enfance, m'a très maladroitement avoué avoir vu la scène, sans être intervenu, alors que ma vie était en danger et qu'ils auraient pu, que ce soit en voiture ou à motos, me rouler dessus. Je peux à peine manger, et quasiment pas  mastiquer. L’ORL a prôné une opération que j'ai refusée, car le nez, sans être dévié, a la possibilité de se ressouder tout seul, sans compter les cartilages eux aussi, en vrac. Ça, cette anecdote, c'est pour l'aspect "réel". Ces gars ne perdent rien pour attendre, car si la gendarmerie ne découvre pas leurs identités, je m'en chargerai en solitaire, "comme une ombre dans la nuit", tel que me l'a suggéré un complice de la toile. "Contre une douzaine, casqués et en tenue protectrice de motards, tu ne pouvais rien faire". Sur un plan martial, mon tort est de ne pas avoir eu peur, et de ne pas m'être faufilé jusqu'à chez moi. Mon premier réflexe : m'éponger le sang, prendre un antidouleur, et fumer mon cigare, dans mon lit, en riant presque de mon aventure, et félicitant celui, qui de son poing ganté m'avait cogné, car il avait visé juste. Le nez étant une bien meilleur objectif dans la bagarre que les couilles. Voyez où en est la Bretagne, et où en est la solidarité entre gens du cru ! 

                                                    


Le second coup fut d'une toute autre rudesse et d'une toute autre nature. Depuis des années, je n'avais eu de cesse de lire et d'encourager deux sites bretons identitaires. Le premier finit par me donner la nausée par la publicité qu'il faisait du Hellfest, ce rassemblement ouvertement infect et démoniaque en terres de Clisson, et je le rayais des tablettes. Le second, plus radical, mais nullement jovial, et mené de main de maître, n'est-ce pas, avait aussi le don de m'agacer car l'humour y était inexistant, et mes commentaires y étaient systématiquement sabrés. Le hasard faisant bien les choses, je fus mis, il y a quelques jours, en liaison Skype avec le ouebmaster d'un troisième site, qui avait quelque accointance avec le second que je lisais encore régulièrement, bien qu'il me fisse de plus en plus, l'effet d'une forteresse aussi imprenable qu'une loge maçonnique : se pâmant sur des victoires qui seraient les siennes, sans que rien ne puisse les légitimer dans le concret, le Nouvel Ordre avançant de son pas lourd, aussi bien en Bretagne qu'ailleurs. Le lendemain, ce même ouebmaster, me posa la question qui tue : "Tu es homo ?". Étonné (pour mémoire, et pour bien me foutre des Lgbt, j'avais nommé la première mouture du blog, "Le Gay Savoir", sans doute une erreur de néophyte )  je lui répondis, que cette appellation  et ce qualificatif étaient très réducteurs, sachant le nombre et le type d'expériences érotiques, quasiment jamais amoureuses, "l'amour-connais- pas", que j'avais, à l'âge tendre, vécues à Paris, et sans complexe, ni regret, ni remords, et bien que ce soient là des jeux puérils que j'avais depuis fort longtemps abandonnés, et pour lesquels, je n'aurais, ici fait aucune publicité, ni surtout pas propagande. C'est ainsi que j'appris que "cela" était la raison pour laquelle, ce petit groupe que je suivais depuis des années,  d'une impolitesse rare, racialement quasi incestueux, composé uniquement de mâles, et centré sur le nombril breton, ne donnait aucune suite à mes appels du pied, me prenant sans doute pour je ne sais quelle taupe, et ce, juste pour avoir avoir baisé à tort et à travers, dans pas mal de lits que la capitale m'avait tendus, au point que moi-même, je ne me souviens plus du quart des hommes et des femmes, dont des artistes plus ou moins connus, des bi, des juives, des juifs, des goyim, des maçons, etc. avec lesquels, avant de prendre conscience des magouilles et de la texture des lobbies, j'avais eu ces expériences, nobles ou pas, mais toujours vectrices et porteuses d'idéaux, et pas piquées des hannetons. Rien de tel que d'avoir connu à la verticale et à l'horizontale, ces formes d'ennemis ou tout au moins d'adversaires d'aujourd'hui. J'aurais même écrit, payé peau de balle et pour ne pas crever de faim, de fausses lettres érotiques pour une ancienne revue "Lettres Magazine", dirigée par une certaine madame Sitbon ! C'est dire. Ni honte ni fierté, un constat, et une franchise. La petite bande de culs coincés et serrés que voilà, et sans un pet d'humour ! Faut-il avoir une certification "100 pou 100 hétéro", pour entrer dans leurs rangs ? Ce n'est pas le B'nai Brith, c'est le Breizn'Brit. Ainsi, si c'est avec un mépris des plus notable, que je fustige régulièrement les LGBT, et leurs revendications foldingues, ainsi que les cercles mafieux parisiens, dont ils sont issus, j'apprenais, à mes dépends, comme le corbeau vis-à-vis du renard, que la petite caste élitiste bretonne et bretonnante, ne valait guère mieux  en terme de solidarité et d'humanité ! Que c'est suspect, faut-il le souligner, d'avoir à ce degré peur du cul, que c'est suspect d'être doté de si peu d'humour, que c'est suspect d'être aussi borné dans son machisme quand les plus fortes têtes de Bretagne que je connaisse, sont des femmes ! Le breton bourlingue, baiser c'est bourlinguer, j'ai donc bourlingué et même fait, allongé, ou à pattes, le tour du monde. Ah, ah, ah !

                                                   



Le breton picole,  j'ai picolé. Il rit et pleure, j'ai ri et j'ai pleuré. Il pense à L'Ankou qui est son patron, je n'ai cessé de penser à lui, ce que les parisiens à qui je faisais peur, m'ont assez reproché.  Si je me tape des gauchistes, je me tape aussi de tels droitistes, aussi peu évolués en leur conscience, surtout quand on songe au nombre de bretons bis, gués, gouins, sm, ou tout simplement singuliers etc. qui mènent leur vie recluse, et n'emmerdent personne. Des chefs, eux ? Pouah ! Des mufles, des handicapés ! De la bouse de vache infertile, ou "De la petite bière", pour citer ce vieux chameau de Goldanel, au sujet de la souffrance des palestiniens ! J'avais été prévenu pourtant, des rumeurs circulaient sur l'impolitesse et l'ingratitude de leurs chefs, je n'en avais pas tenu compte, car, ne croyant qu'en ce que je vois, me méfiant des ragots, je préférais m'en rendre compte par moi-même. Des bretons ? Des chrétiens de l'ouest mal dégrossis à qui je souhaiterais de subir quelques bonnes giclées de sperme et de liquide cervical dans la bouche et dans le cul, ne serait-ce que pour les décoincer. Les partouzeries ne sont pas, en soi, et surtout aussi anciennes, une trahison de ses ancêtres, ni de des racines, ni de soi. Chez ces bretonnants, pas même pas une petite pipe, pas même de feuilles de roses, pas même une petite sodomie à leur actif ? Pouah ! Ils ne connaissent rien à la vie. La chasteté qui est venue d'elle-même, et sans effort, a fait son chemin grâce aussi  à ma débauche antérieure. Une petite virée chez les Soeurs Aryennes s'impose car sans les femmes, les pédés, les gouins, et autres, ils n'arriveront à rien. La Bretagne indépendante ? Mon cul ! Cette réaction me fait d'autant plus glousser jaune que je fus un proche d'une descendante de la famille du grand Polig Montjarret, avec "le petit défaut", pour ne rien leur cacher. Quant aux motards, du même acabit que ces intellectuels gavotteux à la mode de chez nous, je les attends de pied ferme, avec, comme arme, mon bâton de l'Ankou. Un jour ou l'autre, j'en isolerais bien l'un ou l'autre, et ils paieront, et me rendront ce qui m'est dû, car mon principe, est, tôt ou tard, de toujours et systématiquement me venger et de faire ravaler quelque orgueil superfétatoire et nullement justifié. Que cela soit dit et répété. Autant, les éructations "controvidesques" du Café Philo de Droite ou celles du divin Abbé, sont la plupart du temps de relative bonne guerre, et n'enlèvent nullement l'espèce de tendresse que je leur porte, autant sur tout ce petit monde bretonnant et clos, de dépit, je leur crache, à moins que je ne leur pisse ou ne leur défèque dessus, ce qu'il me reste de glaviots sanglants dans les sinus,  à la gueule. Seuls les révoltés à la Ibara, Chriss, JClaurent, Simon, Blh...valent que l'on se penche sur leur cas. Heureusement, certains moins bégueules, et ont su renifler et reconnaître un aussi singulier dissident. Comme la plupart des intellectuels, ce sont des imbéciles. Il leur manque cette dimension du cœur,  artistique, poétique. Ce sont des bretons castrés. Plus, et bien que je gardasse de la tendresse pour eux, je les lisais,  et plus le malaise montait. Ces messieurs tiennent tant à leur pureté qu'ils nient les fondements de la vie, dont l'un est : la crasse ! Qui fait l'ange fait la bête, et eux vivent  à la mode angélique sous les mirages d'une Bretagne retrouvée :  100 pour 100 hétéro, 100 pour 100 bretonnante, 100 pour 100 autonome... Ils rêvent et planent, ce sont là des traits bretons que je discerne. Leur sale caractère, aussi, est un autre trait identifiable de la bretonnitude, mais il est mal appliqué. Hélas, ils planent et rêvent, non à la manière de poètes bretons, mais de cérébraux desséchés par l'intellect. C'étaient là, et de plus en plus, bretons que je ne reconnaissais pas. Dans les deux affaires blessantes qui me concernent, ce qui m'a le plus choqué, ce sont les attitudes lâches et sournoises : 1, du témoin muet de mon village, 2, des militants de la "cause", et cela, moins pour moi, que par respect pour ma mère, une personnalité locale, toujours bon pied, bon œil,  et qui, ancienne petite commerçante, en apprendrait long sur la vie, à ces malappris et à ces sagouins ! Dits "bretons", que cela soit dit, vous vous comportez à la manière bégueule et élitiste des juifs et des maçons que vous dénoncez vainement à longueur de journée si c'est pour appliquer leurs propres méthodes. A moins, d'une miraculeuse guerre civile, d'une logistique de centaines de cargos et d'avions qui aillent les re-débarquer en Afrique, la situation est foutue, Bretagne comprise ! Aussi breton que n'importe qui d'entre ces bouseux, je me chauffe d'un bois qui brûle de la Sainte Kundalini, et ce ne sont pas les humains qui sont habilités et qui auraient vocation à me faire peur. Brebis est roi, ou reine si vous préférez, en son royaume. Qu'ils prennent  ça dans la tronche ! Ils n'en ont rien à foutre ?  Et moi, pardi. Les liens sont rompus. Mon propre combat, la direction que j'ai prise, surtout avec les temps qui s'annoncent, ne sont pas les leurs, il était temps, imbécile de Brebis, que je m'en rende compte. Ils veulent s'en expliquer en tout bien tout honneur ? Rendez-vous  en ce cas, dans le Sud-Finistère, à l'église de la Sainte-Trinité, dite "sans toit, ni loi", j'y suis souvent, en fin d'après-midi, à exciter Kundalini, et à y prier, Enki plutôt que Yahvé, peut-être. De pine à glande pinéale, il n'est qu'un pas, n'est-ce-pas ? Constitué, lui, du sabot coriace de corne d'ovidé. Mais ils feront les morts, car ils le sont déjà dieu, cependant que ces guerres égotiques sont lassantes. Voilà, c'est dit et écrit, tournons allègrement la page, ou plutôt, fermons le livre.


Selon Mohac.
Les Sœurs Aryennes. C'était il y a 30 ans qu'il eut fallu agir.


La Chapelle de granit bâtie sur un lieu druidique. Nous la dédions à notre compatriote breton,  Simon Duplessis,
qui a toute notre estime et plus.
PS : presque à mourir de rires, un véhicule agricole, vues les traces jaunes de maïs sur la carrosserie, est entré ce matin
dans ma petite "trottinette" verte sagement garée.
Rétro & porte côté conducteur bousillés.
Elle aussi aura eu comme son nez brisé.
Le fautif est parti sans laisser d'adresse
et nul témoin bien sûr. Tout pour ma pomme.
Je n'ai pu que ramasser les débris de son propre phare rouge arrière.
Bretons, traites raciaux, je la peaufinerai ma vengeance !





Faits & Documents

"FAITS & DOCUMENTS" DE EMMANUEL RATIER SUR LA VOIX DE LA RUSSIE.


Soirée dansante



L'invraisemblable et épouvantable  soirée des Rothschild en 1972, dévoilée.
Remarquez l'esthétique de de bal des vampires qui date de plus de 40 ans et qui rappelle, très étrangement, façon de parler puisqu'il n'y a rien dérange au contraire, celle des apparitions d'une Lady Gaga.
Entre fameux Œil et personnalités multiples.

Le baigneur démembré fait songer aux aveux terribles d'un enfant
d"écrivant une cérémonie avec un gosse immigré sa faisant couper les membres au couteau électrique.
Ces gens sont fous.
Cette soirée est une mascarade face à certaines
bien plus hard où les fantasmes sont réalisés.
Famille maudite. Cursed Family. 
Famiglia maledetta. Verfluchte Familie.
By Courtesy of  Samuel




Dieudo et Frères.


Bien baisées,  les vôtres, de gueules.

By supreme Courtesy of "Anonyme"
Dieudonné est un mini Beppe Grillo français, Grillo, cette immense fumisterie cynique érigée contre le peuple italien...avec son "Movimento delle 5 Stelle".
sous contrôle du producteur Sassoon,  
avec des ramifications invraisemblables et 
apparenté aux Rothschild.
(Les gestes :. de Grillo, dont un "cou coupé" ne souffrent d'aucun doute)
Encore eux, donc.
Le "M5" (sic) ramène à une phraséologie et à une symbolique occultes.
Dieudonné est censé être "antisémite",  curieux antisémite  constamment entouré de juifs, et dont les enfants mêmes, par le biais de sa femme, le sont.
Dieudonné fait partie d'un plan, ce qui explique ses protections,  plan à la fois de détournement et de canalisation de révolte de masse,  (Ex : les soldats quenelliers, sont tout simplement moutonniers), &
d'une tentative vouée à l'échec de rééquilibrage de ces  pauvres et tristes breloqués de FM :. goyim,
dont le pouvoir est mis très à mal 
par la puissance de frappe inouïe du lobby Juif  sioniste.
Conspiration dans la conspiration, la maçonnerie :. mondiale elle-même, et les lignées royales itou, sont entièrement sous la coupe des Rothschild.
E & R, est une mini-loge de profanes.
Penseriez-vous que les Soral, Cohen, Falotti,  Dieudo ne soient pas introduits dans la haute ?
L'un s'en va survivaliser à Tel Aviv, l'autre chiale  à l'enterrement de Delarue, encore un autre, et pas des moindres, fréquente en douce l'affreux gnome de Seymoun,
se marie avec une mademoiselle Berg,
est produit par Camus,
raque des centaines de milliers d'euros par des fans, que, par une pirouette,
il ne rembourse pas.
La facétie de gorille, plumés les smicards !
De plus, en étant métis, il ne permet pas aux "fachos" blancs de s'identifier à lui :
Il est donc Le Clown parfait !
Le Bouffon du Système qui s'en régale.
Qui sont-ils , ces sbires ? Des singes qui font grimaces et pitreries, et vous riez à leurs frasques,
et gobez leurs quenelles, bande de nœuds !
 Vous êtes leurs paillassons,
sur lesquels ils se frottent les pieds,
après les avoirs trempés dans la boue des synagogues et autres temples.
Les procès, c'est pour la guignolade,  la forme, le cirque médiatique.
La quenelle, vous vous la prenez, et jusqu'à la garde.
Notre travail est modeste, mais notre mission est glorieuse : débusquer les supercheries.
Nous remercions à cet égard, Falotti, parce qu'il a mis le feu aux poudres et la puce à l'oreille, et bien sûr, Moualeck,
pour sa légitime colère.
Faut admettre que d'avoir fréquenté du monde qui mène si bon train de vie, et de n'avoir ramassé que des miettes, doit foutre les boules.
PS : lire les commentaires, cela vaut son pesant d'or. Énervé "grave", le FM.














dimanche 29 septembre 2013

Olio



                                                                             

samedi 28 septembre 2013

La révolte du Fils

                                                                               
 
Moualeck hurle,  bave, tempête,  crache,  vomit sur  Ryssen, une de nos références...
Moualeck, cependant, et malgré ses ruades,  reste le fils spirituel logique et révolté de Soral.
Il en est le pur produit et la pure aberration.
Le fils à papa déshérité.
Le fils d'une illusoire , mensongère et néfaste,
"Égalité et Réconciliation",
entre des races et des peuples incompatibles.
Les musulmans ont bon dos de gueuler sur les juifs
c'est grâce à eux, ou plutôt à cause d'eux,
et de leurs frères maçons, s'ils sont ici,
à nous ruiner avec leurs frères d'Afrique noire,à nous amoindrir, à nous contaminer.
(Voir affaire de la petite Fiona)
Moualeck, tu es un  français de papier plastifié.
qui ne retrouvera sa dignité qu'en retournant au bled. Tu te mords les doigts d'avoir cru au pape de la dissidence, d'avoir suivi ce gauchiste pataugeant dans sa propre logorrhée, et  plus ou moins converti
dans la laborieuse  prise de conscience par le peuple français du pouvoir juif, 
mais sa logique conciliaire et son narcissisme
font de ton chef, une impasse.
"Gauche du travail, et droite des valeurs",
slogan pervers, attrape-nigauds
émis par une idole maline et perverse.
Soral est un ringard aux méthodes rapiécées issues des idéaux bolchéviques.
Un Che semi-juif raillant les juifs entiers,
quoique un juif ne puisse être entier,
car, il lui manque un essentiel bout de peau.
Qu'il soit d'Allah, ou de Yahvé, ce blabla  n'est  notre tasse de thé !






Fukushima, mon Fol Amour.

                                                      
Belle et jolie comme un cœur.

Cette  frappadingue de Duras, très talentueuse néanmoins, n'a cessé de lécher le cul du Talmou, (elle qui comptabilisait 7 au lieu de 6 millions, et pourquoi pas 13 à la douzaine, de victimes "non-chrétiennes", les autres, inutile d'en parler, elles comptent pour du beurre)...a lancé, dans les années 60, la mode de l'expression "Hiroshima, mon amour", film dont elle fut la scénariste, et dont,  "La guerre sans l'aimer" du répugnant Bernard-Henri
est presque le pastiche. 
Alain Reisnais fut le cinéaste de Hiroshima à la sauce de Saint-germain-des-Prés,  amant de Sabine Hazéma, et ami d'Arditi, (un infect bonhomme de gôche qui paradait et circulait en 4/4  polluant, en plein Paris)  a parfaitement  su où caler sa langue.
La Sagan, écrivain de bien moindre rang, avait cependant, eu cette bonne réplique :
"Hiroshima, mon amour, et pourquoi pas, Auschwitz, mon chou !"
Et en effet, pourquoi, ne pas en faire une pâtisserie délicieuse qui fasse office, comme la fameuse Madeleine de Commercy, de devoir gustatif de mémoire?
Au tour, désormais de 
"Fukushima, mon Fol Amour" qui ravage le Japon et  risque fort d'achever notre pauvre Terre.
                                                       By Courtesy of Crash de Bug



La Vie ne fait pas de cadeau.

MC






Toxique, jusqu'au bout des ongles...
Un air de Régine refaite.
Lorgnez le collier. Et légion d'honneur,
ou un zinzin du genre.
Quoique, satanisme et honneurs vont de pair.






Chutzpah


Lévy et le jeu de Miroir ! ou Le culot de Bergé !



Luxe, Savonnettes et Abat-jours...
des Huiles,
et essentielles !
Dieudo : 600 000 euros et plus.
Thomas : 700 000 euros.
match quasiment nul.
Bien que m'Bala m'Bala mouille, lui, sa chemisette
de plus en plus remplie et pansue.
Falloti-once-d'or & Dieudo-la-queue & Abed-le-"catho" : allez, au régime, les gros bides.
PS : Soso se fait aussi quelque lard avec sa machine sofatique à phosphorer
sur place.



A quand des vidéos savantes de l'Abbé ?
Lui seul étant à même de réenchanter un  soralisme
sur le déclin.



vendredi 27 septembre 2013

A la queue leu leu



Seule et authentique Quenelle. 
Bras levé, main tendue. Main, anagramme de Mina, notez-le, refermée, elle est dite alors, "Poing". Ce geste de prétendue révolte de gauchiste, n'est pas à proprement parlé, une quenelle.
C'est même l'anti-quenelle, car elle ravit les capitalistes qui s'en esclaffent.



"Quenelle christique" inoffensive et moquée.
En même temps, elle sert de prétexte aux chrétiens les plus fats pour garantir une invasion-immigration destructrice,
et pour culpabiliser les chrétiens moins perméables à ce type d'idéologie gauchiste.
L'aberration du "aimez-vous les uns, les autres".



.
"Fausse Quenelle" : par-ici-la-monnaie.
Exemple : 600 000 euros récupérés sur le dos des fans, surtout de ceux qui n'ont pas envoyé d'enveloppes.



                                                           

Spacer


                                                                               
Œil, Pyramide, Triangles, Modernisme, Promotion du métissage, lumières, accent frenchy de Sheila : 
Disco 1979. 
Le plan mondial prend forme.
By Courtesy of Sheila "Black Devotion". 




Vous êtes gâtés.

mercredi 25 septembre 2013

Merci Duppy.


Le lecteur Duppy Conqueror offre à Mina ci-dessous, 
une chansonnette ritale années 80,  kitsch,
dans la lignée d'un "5 heures du mat, j'ai des frissons",  et v'là-t-y pas, bang, surprise : tampon Pyramidal à l Œil ! Et, en avant, la zizique,
 attachez vos ceintures,
ou bouchez-vous les oreilles.


Ce qui était pris à l'époque, pour de la modernité, pour une mode, pour l'air du temps, pour un habillage lumineux des décors, 
était un fatras occulte savamment orchestré pour dompter les masses. 
Le disco sucré, avec Grease, Saturday Night Fever, Spacer, etc. et ses déclinaisons locales, représenta une immense percée dans le monde occidental,
 du NWO/NOM.

                                                                                

Épine dorsale

Retour aux fondamentaux.
                                                                                 


                                                                               

mardi 24 septembre 2013

Mumuse !


                                                                             


BREBIS fait MUMUSE, en apparence. 
Oh, oh, oh !
Eh, bien non, justement, messieurs-dames,   en réalité, BREBIS est MUSE tout court !  
De quoi rendre JALLLLOUX !  
Avec 4 L, oui, comme chez la Dedeuche, pour mieux voler, et de ses propres ailes, pardi  !   
Brebis essaime 3 ou 4 mots doux, avec parcimonie, collant à ce qu'il est, quelqu'un qui n'a rien à dire, qui, sans doute, se trompe, et qu'en récolte-t-il,  dès le lendemain ?
Une moisson  de lumière !
L'Abbé se trompe sur un point  : Si Le Brebis n'est pas du tout bégueule, il est très rancunier, et il lui arrive de se venger des années et des années plus tard ! 
Combien de menaces de mort  et de hurlements de truie qu'on saigne a-t-il proféré de par téléphone ? Combien de fois a-t-il réveillé des gens, en pleine nuit, de ceux qui lui avaient fait un sale coup, 
à lui ou à des proches,
parfois 10 années et plus auparavant,
en les éjectant du sommeil, en leur glaçant les sangs,
par des termes crus et vindicatifs,
jusqu'à être convoqué chez les flics !
Le Brebis, à très petite échelle, est dangereux,  aussi pour lui-même,
 mais pas pour des chicaneries, pas pour des enfantillages, pas quand 
la réaction est imprégnée de  finesse, d'intelligence, de doigté...
Les saillies brutales, il les réserve
à ceux qu'il méprise, à ceux qui ont volé, triché, tiré dans ses papattes, qui lui ont réellement chié dans Bien qu'en règle générale, les conflits s'apaisent
sans résolution,
et que les individus se quittent, sans que leurs chemins ne se recroisent,
et quand cela fait tout drôle de penser que vous ne reverrez plus sur cette basse-terre,
ces personnes si présentes en votre cœur,
que vous ne les observerez, ni vieillir, ni mourir.
L'Abbé, frère d'Ibara, c'est la Grâce.
Ils sont déjà angéliques.
Ils ont aux nues, ils sont aux cieux.
Rien à voir avec la bassesse humaine.
Spirituellement,  de gré ou de force, ils se situent très au-delà du duo officiel et fricqué de cette "dissidence", mollement décriée ici-même.
Le Dieu des misanthropes relie nos cœurs.
C'est ainsi.



"Euh..." dit Le Brebis, "J'ai un doute. Me trompé-je de chanteuse ? Celle, en Collerette, c'est bien Barbamina, n'est-ce pas ?"


Bonus !
Encore plus grave  et sérieux que ce que notre intuition nous dictait. Oh, Le sac de Nœuds.

La Victoire en chantant.



Voilà le travail. 
Après le Gainsbarre des années 80, la Bruelmania -Benguiguimania- des années 90, voici la génération Goldman, 
ce petit maître-beugleur sur son air perché
qui porte ironiquement le nom 
de la banque qui nous entraînera dans son abîme.
Le méprisable chrétien de base est couillon, mais d'un couillon : le disque,  vendu à 500 000 exemplaires, 
il l'a fait de diamant,  en ces temps de disette !
Le chrétien mange dans la main de celui qui le méprise, il lui lèche le susucre dans la paume.
Pendant ce temps-là, le vieux gauchiste,
dont le frère fut un assassin, 
qui promeut par chansonnettes interposées ses anciens frères sanguinaires,
Marx, Lénine and co, 
qui conserve un poids énorme  dans la mafia francophone mais uniquement hébraïque du  bizness, encaisse.
La mafia ne chante plus, elle fanfaronne.
La partie des goldmanettes est, évidemment, assurée par une bande de perroquets rastaquouères.
La "diversité"étant systématiquement encouragée et raccommodée par un fil,celui de la Talmouderie.
  Sous l'égide de la synagogue 
et la sous bannière de la  laïcité maçonnique, l'air est irrespirable. 
La France  pue les remugles de ces chiottes à ciel ouvert  qui remontent de la tuyauterie des  écrits glauques du Talmoud.



Love on the...Beat...Vieille Pute alcoolo, et pastiche de Quentin Crisp.
Maudites années 80, avec l'arrivée de Mitterand-Lang-Attali-Kouchner-Ockrent ... , elles ont sonné la prédominance
radicale du lobby sioniste et de la meute :.
dans les affaires "françaises".
Le Glas.


PS : au passage dans un Tabac, la péripatéticienne Léa Seydoux est à poil; l'Ouest-France invite les mômes à jouer à Einstein, le voleur de Henri Poincaré; le faux de l'onaniste Anne Franck est en devanture; Boris le Lay est condamné à 15 000 euros d'amende, pour avoir écrit ce qu'il pense ! 
Chouette, la France.

Chrissianisme


Outre un talent de sculpteur, et son métier de restauratrice d’œuvres d'art, Chriss détient un art de la gueulante qui lui est propre et qui est art tout court.
Et c'est précisément là, le sait-elle, qu'elle atteint  son propre génie, et le paraphe.
Chriss est un des meilleurs écrivains de la Toile, à des coudées au-dessus d'un chichiteux et gnangan Didier Goux,
à l'écriture toute aussi efféminée que celle d'un Renaud Camus,
au style raffiné de dentellière,
dont le comble du rébarbatif et de la sophistication est incarné par leur égérie : Marcel Proust.
La vie, la colère et la rage coulent à flots
dans les veines et les nerfs des écrits de Chriss.
C'est vivant, nom de dieu, ça gueule !
Voici donc que  l'Erinye  Chriss, te prend, cette fois, la Gertrude Stein dans le  viseur,
elle  démonte la gueule de cette  lesbienne retorse et tordue,
avec "pignon sur rouelles".
Chriss vise juste, car elle sait, dans ses fibres, comment la machinerie de l'art s'ébroue et tourne.
 Lui ou Elle ? Lgbiquette et Judith Butler avant l'heure, "Gertrud" elle-même,
qui bien évidemment inspira un gnome narcissique et pervers comme Woody Allen.
Il suffit qu'un prétendu artiste se proclame juif,
fréquente la synagogue (important!)
et le lobby le hisse aussitôt aux nues.

Téloche, radio, cinoche, variétés, galeries : 
tous un pied à Auschwitz.
"Le Disneyland de la mort dont le Mickey est Elie Wiezel" dixit Emma.
Les idiots de goyim n'ont aucune idée de comment cela se passe à Paris, Londres ou New-York,
dans les sphères juives de "l'art",
qui n'est qu'entassement de juifs sur juifs,
un tas grouillant et malodorant,

où les morts côtoient les vivants,
au point que l'on se demande
de quel côté du miroir, ils se trouvent,
tant, morts ou vifs, ils sont perpétuellement encensés.
Regardez ce Gainsbarre qui fait encore les beaux jours de Mercury.
Les chrétiens n'ont pas idée, de ce qu'est le but :
la mise sous tutelle du goy,
son propre enjuivement, et son allégeance.

Le principe des galeristes du ghetto  de Paris, que Chriss dénonce et dépeint,  était fort simple: repérer un peintre, acheter un maximum de ses toiles pour un quignon de pain, ou quelques litrons de piquette,  les fourguer dans leur grenier, puis, bénéficiant du réseau des galeristes talmoudiques  de New-York, en faire monter artificiellement la cote, en les médiatisant des 2 côtés de la Manche,aidés en cela par la très hébraïque French American Foundation, ensuite, les revendre au compte-gouttes, en ressortir avec le porte-feuille bardé de millions. Autre exemple de rapt : Picasso recevait dans son atelier Juan Gris, qu'il faisait venir d'Espagne, lui offrant de petits séjours à Paris, pour l'observer peindre, et lui piquer ensuite sa technique. Un classique.